COMMENTAIRES : "En regardant vos œuvres, j'y ai reconnu tant d'effets de lumière, et éprouvé un grand plaisir à la promenade. Ces lumières là, seul l'œil et la main peuvent la sertir et la faire échapper au temps. C'est le propre de la peinture. Peu le savent encore ! Bonnes pensées à vous ! " – Aude de Kerros (Auteur de L'art caché, Les dissidents de l'art contemporain et publie régulièrement dans de nombreuses revues dont Artension.) "Grand merci pour les photos de tes toiles, tu as fait un grand bond en avant. Libre je crois de toute influence particulière, avec ta sensibilité et ton travail acharné. Tu es toi même ! Bravo, tu portes à ton tour le flambeau de la Beauté prise sur le vif dans la nature. Tu me fais un grand plaisir avec ton honnêteté, ta lucidité au milieu d'un monde corrompu par la facilité et l'argent !" – Jean Arène lettre du 18. 01. 2015 – " ... Je suis fier de toi... Fier et content parce que perpétues la chaîne des peintres honnêtes qui se plantent devant la nature, l'admirent et essaient de tout leur cœur d'en trouver une équivalence qui rende cette émotion de Beauté. Tu avances et grandis, une seule recette que tu connais : boulot, boulot et dessins croquis rapides pris sur le vif... " — Jean Arène (2008) "Yves Calméjane s'inscrit dans la lignée des peintres coloristes pleinairistes, et en particulier celle d’Auguste Chabaud. Son travail au trait puissant relève d’une technique aboutie et d’un travail très personnel et d’une très belle expression poétique. Yves Calméjane est un peintre sincère et vrai et son travail artistique présente une valeur sûre de la peinture figurative française actuelle." – Galerie Inna Khimich 2018 "Yves Calméjane est un artiste avec une longue carrière ponctuée de très nombreuses expositions. Peintre paysagiste, c'est un amoureux de la Nature. Un artiste atypique, qui fait le choix de peindre sur le motif, en extérieur. Depuis quelques années, sa carrière a pris une dimension internationale qui lui permet d'exposer régulièrement en Asie et plus particulièrement en Chine. Les oeuvres d'Yves Calméjane font partie de nombreuses collections privées." – Geoffroy de Francony Galerie 2017 "Lorsqu'on avait fait connaissance lors d'une expo à Aix, j'avais été très séduit par votre travail et votre style si personnel. J'y vois une expression lumineuse, colorée, ensoleillée d'une nature où vous savez restituer sur la toile les émotions vécues, un moment, sur le site. Cela a été un plaisir de vous compter parmi les exposants à Florilège, et à mes yeux, parmi les peintres les plus intéressants, voire les plus rares." – Alain Wolf (Association Bail'Arts) " Les paysages sont au centre de son œuvre, quiétude, douceur, harmonie émanent de ses toiles, une petite musique ou une certaine sonorité fait que dans son art tout est équilibre. Tout se répercute sur tout, l'écho répond à l'écho, les volumes s'équilibrent, les lignes se contrarient, un plein appelle un vide, une droite, une courbe, un ton chaud, un ton froid... Ce sont toutes ces modulations qui donnent à son œuvre un caractère si particulier." – Dominique Bentejac (président de l'association des artistes Chamaliérois en mars 2019) " Vous êtes, me semble-t-il, un peintre-poète de "la captation de l'âme-du-dehors". Merci pour ce geste qui nous permet de l'experimenter."– Eric Dohoun, agent, commissaire et directeur artistique - edohoun.wixsite.com/edoart/portfolio - 2017 "Quant à tes peintures j'apprécie la composition, la finesse des tons et la communion sincère avec la nature.."– Jean-Paul Barré, peintre paysagiste 2018 "Chemin d'automne qui s'enfonce entre les arbres ; plus haut des touches de bleu stridantes s'interposent avec éclat, et le ciel et ses nuages semblent jouer à "s'entretenir" avec le souffle du feuillage. Savante souplesse du geste et volupté des couleurs. " – Marion Tournay 2020 "Avant de prendre ses pinceaux en mains, Calméjane se promène dans les forêts, erre dans les champs, se perd en chemin, s'aventure dans les petits hameaux à la rencontre des gens et des paysages. Ce n'est qu'ensuite que le peintre prend place en posant son chevalet sur la terre. Il prépare sa palette de couleurs et peut enfin s'occuper de sa toile. La lumière du ciel, le souffle du vent, le feuillage des arbres en mouvement, tous ces éléments naturels donnent la direction à prendre pour l'artiste. Les formes se répondent entre elles, raconte l'artiste. Une forme de discussion s'installe entre Calméjane et la flore. L'artiste fait le parallèle de ces interactions, avec un autre art : la musique. Une ambiance ressort, des rythmes se dégagent entre les différents tons et textures." – Édouard Bonnefont 2018 (La Montagne) "Le 13 juillet 2018, à Gargilesse, j’ai rencontré un peintre qui exposait au Colombier… Il s’appelle Yves Calméjane et il incarne une sorte d’archétype du peintre, barbu, calme, pas très disert, un peu secret… J’ai longuement parlé avec Yves, dont j’aime beaucoup le travail - je lui ai dit - de petits paysages bien stylés, quasi abstraits – je lui en aurais volontiers acheté un qui représente de l’eau qui coule dans un chaos de rochers en sous bois… Cette rencontre m’a rappelé des beaux mais hélas anciens souvenirs... J’ai rêvé à sa façon de vivre son art... Il y a une sorte d’évidence dans sa démarche qui m’a touchée… J’ai le sentiment que c’est un “peintre heureux”. Y aura-t-il un jour où me reviendra cette simple évidence de peindre ? Je crois que ça s’appelle « l’enfance retrouvée », oui c’est ça, l’enfance indispensable à l’Art et à la Foi. Merci Yves." – Michel Le Brun-Franzaroli le 15 juillet 2018 (Peintre et écrivain de la "Biographie de SOUTINE - L'homme et le peintre" – michel.lebrun-franzaroli@laposte.net) "Calmejane, le peintre du dehors On disait autrefois des peintres qui prenaient le chemin, dressaient le chevalet dans le caillou et bataillaient à la brosse avec l'infini du paysage, qu'ils peignaient sur le motif. Et la formule déjà suggérait qu'il s'agit d'un prétexte ou d'une invitation à peindre non le paysage – quelle ambition ! – mais un tableau de paysage. Peintre sur le motif, peintre in situ si l'on se réfère à la géographie, peintre de chevalet si l'on en vient au matériel : Yves Calméjane est tout ça ; mieux, c'est un peintre du dehors. Il a un peu d'ailleurs l'allure des glorieux ancêtres dont il reconnaît la filiation – à demi-mot seulement, on ne s'improvise pas faraud quand on est modeste. La silhouette trapue, le cheveu blanc et la barbe abondante lui donnent l'air bourru qui éloigne l'importun ; précaution rapidement démentie par l'étincelle du regard et l'humour des premiers mots. Yves Calméjane est donc un peintre du dehors. Même si, les nuits du dedans et les jours de pluie, il travaille dans l'atelier des compositions abstraites nerveuses, comme l'expression d'un regard intérieur et le répertoire d'une sûreté de la main. Un œil, forcément ; une main également. Et le talent rare de faire fonctionner les deux ensemble sans trop laisser de choses en route. Après tout, ses paysages sont des peintures, avant tout et malgré tout. Sans jamais imiter, elles emportent quelque chose de la vraie nature. L'œil et la main ne sont jamais sûrs vraiment de ce qui va se passer une fois décidées et tracées les premières lignes sur le tambour de la toile. Sinon qu'il n'y aura pas d'angles agressifs, jamais de blessure ouverte ni de puits de ténèbres. Et non plus de couleurs séductrices, ni vert de feu ni orange cru, mais l'infinie palette des gris colorés, ceux que nous saurions voir dans la nature si nous ouvrions les yeux au lieu de nous en remettre aux habitudes du vocabulaire. On pourrait penser que le premier travail du peintre du dehors, une fois chez lui – dans un vallon d'Auvergne, une rocaille du Var ou un hiver en Corse – serait de dominer cette nature, de la mettre à genoux pour la faire entrer dans le cadre. Et l'on se tromperait : il ne faut jamais penser à la place d'un peintre du dehors, lequel confesse avoir depuis longtemps abandonné cette prétention. Non, peindre, c'est se laisser emporter par l'immense impossible à représenter en tenant quand même un peu sa barque, naviguer avec soin entre l'abandon et la gouverne. Ce n'est pas tant le paysage qu'il cherche à peindre – ou plutôt si, mais par le filtre des émotions qui nous emportent quand nous sommes dedans. Ainsi, ce paysage, il n'aime jamais rien tant que le transformer, le synthétiser, le cristalliser, afin qu'il glisse vers ce qu'on appelle l'abstrait – et qui n'est rien d'autre que le vrai de la peinture, à hauteur d'homme, rapporté au vrai de la nature qui est hors de portée. Et pour cela – qui n'arrive pas tous les jours avec le même bonheur – ne pas être gourmand de tout. La profusion, on ne s'en sortirait pas ! Mais choisir quoi, où et comment ; préférer le fragment, l'essence, la synthèse ; travailler en même temps l'espace du dehors et le feu intérieur. Un tableau de Calméjane, ce sont des vignes au couchant, trois rangées, quelques ceps, une mousse de blé derrière, la houle de l'horizon, et nous voilà en pleine terre de vendange, ébouriffés de lumière rouge et de sensations. Ce sont les rondeurs bonheurs d'un paysage avec chevaux, et en trois ou quatre plans, la succession infinie des vallons et des forêts où coule la lumière dorée. Ici, une marée basse, du presque rien avec algues qui fait dire que le tableau n'est pas fini, comme ne sont jamais finis les espaces ouverts d'où la mer se retire. Là, l'esprit de la montagne corse en hiver, motif puissant, travaillé comme on monte une construction, avec des blocs, de la rigueur et de la pâte de lumière. Le peintre du dehors se jauge à la juste mesure de son motif. Ce qui interdit la mièvrerie comme l'esbroufe. Mais n'exclut ni la générosité ni les enthousiasmes. Bon prince, Yves Calméjane y ajoute la politesse du bien-être. " – Didier Lamare (Rédacteur, conseiller éditorial, critique musiques contemporaines et arts plastiques – 2014) "Calméjane est issu de la tradition des peintres de la Provence. Il a étudié le dessin à Paris devant les œuvres des maîtres au musée du Louvre et à l'école supérieur des Beaux-Arts de Paris. C'est en côtoyant de nombreux peintres du sud dans leurs ateliers qu'il a construit sa touche personnelle. Il compte parmi les héritiers français de l'école provençale. Paysagiste, il réalise toujours ses tableaux au cœur de la nature. Solitaire, il aime les sites sauvages et arides, et refuse les routes touristiques. Son regard sans concession, rude et tendre à la fois, tend à l'essentiel." – Belina (Chine) 2016 "Après une formation solide, Yves Calméjane s’est frotté à différentes techniques d’expression picturale avant de devenir un « peintre du dehors ». Dans le droit fil de ses aînés les « pleinairistes », il se confronte à la nature. Non pas pour tenter de la dominer, mais pour se laisser emporter par elle jusqu’à en proposer une vision née de ses émotions. La Provence, l’Auvergne, la Corse, la Bretagne, il magnifie tous les paysages grâce à la sensibilité exceptionnelle qui transcende ses toiles. Les scènes de paysage ne sont pas les seules de cet artiste complet qui emmène également la brosse vers la représentation des peuples premiers ou en direction de l’abstraction…" – Fossart, écrivain 2018 "Les tableaux du peintre Calméjane deviennent figuratifs lorsque le visiteur prend du recul. Mais vue de prés la matière est trés présente, bousculée sans ménagement par le geste au profit du seul objectif d'un ensemble organisé. Le peintre se refuse aux représentations imitant les apparences et les détails trop réalistes. Il agit par succession de signes en contraste afin de traduire la nature par évocations et suggestions. Pas de maniérisme ni d'effet de style, les tracés en rondeurs de la main restent francs et sans repentir. Une écriture simple exprime les épaisseurs d'un espace en profondeur. Les sujets sont apparemment vides de narration et nous entraînent dans des promenades solitaires dans des paysages sauvages et ruraux. Toute recherche d'originalité semble vaine. L'homme souhaite juste œuvrer en s’éloignant des modes.” – H. C. (Académie de Vichy) “Le tableau est signé, au-dessus de la longue touche jaune. Je lui ai trouvé une place où la lumière sur l'arbre fauve se densifie, où le ciel est d'un bleu chaud profond qui fait du bien... Pouvez-vous dire à Yves Calméjane que son tableau " Les herbes de salinos " est un enchantement. Et que "La crique au reflet" est un long voyage à faire et à poursuivre. Merci à lui et à vous, j'ai retrouvé un bonheur que je pensais perdu.“ Françoise en 2019 "Calméjane est un artiste authentique. Peintre professionnel, il est bien connu dans le sud où il expose abondamment et se fait remarquer à chaque fois. Il est de cette école des figuratifs qui travaillent sans relâche le dessin et produisent leurs œuvres uniquement sur le vif. Ce sont des sortes d'esquisses essentielles. Au-delà des paysages du midi, il est un observateur amoureux de la Corse, cherchant toujours à capter une lumière ou une atmosphère et à les faire vibrer avec sobriété et émotion. " – Alain Wolf (Association Bail'Arts) " S’il y avait quelques mots pour décrire la peinture d’Yves Calmejane, ce serait « sous le charme »… Car comment ne pas l’être à la simple vision de ses toiles ; peintre de l’immédiat, ses impressions sont restituées comme des instantanés, des coups de cœur comme il aime à le dire… Des lieux, des paysages, sur lesquels son regard se pose, et la magie opère, le pinceau s’associe alors à la palette pour recréer au travers de son propre prisme une nature révélée. Un langage de l’émotion, où l’on peut écouter l’onde courir sur les cailloux, le va et vient d’un ressac qui s’éternise… Par sa peinture toute emprunte de symbolisme qui perpétue la tradition par les techniques et les matériaux employés, Yves Calmejane restitue un art au plus près de son âme, un hommage à Dame Nature au travers de son filtre culturel, une sage dialectique entre Nature et Culture. " – Olivier Barbet (Var matin) " Un chevalet planté sur l'accotement, un peu de biais comme pour élargir le champ de vision. Une palette recouverte d'un mélange de couleurs et une brosse pour recouvrir d'un trait la pointe des arbres. Par terre une caisse dans laquelle il range son matériel. C'est ainsi que Yves Calméjane travaille en extérieur dans la douceur de l'automne. Il est midi passé mais il n'en a que faire, ce qui importe c'est de terminer de poser les couleurs sur la toile où est esquissé le paysage. Le profane est surpris, pour lui il n'y a qu'une lisière de forêt, un pacage avec en contrebas quelques maisons et au milieu une route, rien d'original qui permette d'immortaliser le lieu. Le peintre lui a vu les choses différemment, il les a cadrées dans l'étendue de sa toile, donnant un tableau parfaitement ressemblant à l'endroit avec ses teintes mordorées auxquelles un faible soleil donne toute leur dimension. Peintre de la nature, Yves Calméjane travaille en extérieur, ses toiles sont des instantanés qui répondent à des coups de cœur. — Fournet Barthélémy (La Montagne) " L'oeuvre reproduite sur cette page a attiré mon regard. J'aime ! Loin des "visions novatrices" d'un prétendu "art contemporain officiel" ce travail me semble être de grande qualité. Je découvrirai votre création avec plaisir et intérêt... Un homme capable d'une telle création ne peut être que BON." – Gilles LAPORTE (Ecrivain, Presses de la Cité, Genèse Edition, et Eska) "... ta peinture représente ton capital véritable. il est très beau, et il y a réellement peu de peintres de ton niveau aujourd'hui." – Yann Rebecq 2015 (peintre Toulon) – " Garder votre belle complicité avec le monde qui nous entoure, continuer d'en tirer une pensée philosophique et de faire en sorte que tout se lie et se complète pour vous." – Peintre en 2012 – " Il est rare de voir autant de qualité de fraîcheur et de force authentique dans les paysages de nos contemporains. " – Peintre en Provence 2009 " J'aime la puissance minérale de ses paysages, qui ressemble à son visage, force et bonté. " – J. Baisero 2011 (peintre) "J'ai refait un tour sur votre site. J'ai vu un nombre incalculables de très bonnes peintures. Pas une fausse note. Tout est de la même qualité. Des compositions impeccables, simples et heureuses. Que du bonheur ! " – V. Fournier 2011 (peintre) "Le paysage est au centre de l'œuvre, scènes naturelles paisible et reposante au sein desquelles l'être humain ne laisse aucune trace si ce n'est quelques chemins de campagne." – D. P. Var-Matin (Mars 2011) "C'est là une œuvre qui arrête le temps et qui nous force à nous arrêter. Quiétude, douceur, silence... tels sont les mots que nous inspirent ces toiles alors que, dans notre actualité, la nature se déchaîne. Nous pouvons enfin nous laisser porter par la grande beauté de notre nature." – A. I. (Mars 2011) "Il y a une belle harmonie entre vous et vos peintures, une force fragile et une sensibilité puissante... Vos peintures me touchent profondément, mon émotion est difficile à exprimer par des mots, parfois même ils sont de trop... Je suis émue par votre humilité et votre simplicité, votre "démarche" artistique.... Si il n'y a pas de "vibrations" entre l'artiste et son travail je ne ressentirais aucune émotion... " — Isabelle Desternes (Illustratrice) “J'aime tes peintures, tu es un peintre sensible, sincère, authentique, humble, une qualité rare à notre époque !“ – Arnaud Nicole "En Provence, si vous souhaitez apercevoir une cigale et écouter son chant, laissez-vous apprivoiser, faites silence, regardez, intégrez-vous dans le décor. Les tableaux d’Yves Calméjane sont une invitation à cette halte. Nos yeux découvrent la profondeur du paysage. Le temps s’est arrêté. L’espace devient ressourcement. La beauté est au rendez-vous. Peintre figuratif, Yves Calméjane travaille à ciel ouvert, la nature est son atelier. Authentique et sincère, l’homme déteint sur son art. Il conjugue 30 ans de dessins sur le vif et un travail de peintre dans un souci constant d’amélioration. Par son extrême sensibilité, ce Barjolais redonne vie au spectacle qui l’a émerveillé ; le temps et l’espace s’inscrivent dans la matière, immortalisés pour notre plus grand bonheur. Son site, www. calmejane-yves.fr nous invite à poursuivre notre promenade." — Joelle Ménard (Aix-en-Provence) "Calmejane Yves joue sur la différence entre les aplats du ciel ou de la mer et les touches épaisses du pinceau pour donne du relief à la végétation ou aux rochers. Il en résulte, certes une impression de douceur, mais aussi de force, de puissance. Nous sommes face à des éléments en action à un rythme que l’homme ne peut mesurer." – Patrick Le Tiec (Eze 2011) " Nulles compositions insolites, seulement des esquisses où chaque fois l'artiste établit une communion entre le sujet et un souvenir. Un style économe, essentiel et d'une richesse foisonnante donnée par la matière. D'emblée on est conquis devant ses esquisses instantanées, où restent la grâce, la volupté d'un mouvement. L'artiste croque au hasard des lieux, des rencontres. " – Micky Papoz (Nice-Matin 1988) "Son enfance et la majeure partie de son adolescence, perturbées par la dyslexie, ont vu s'épanouir ce mode d'expression qui pour lui est le seul authentique : la peinture et le dessin. De là vient sans doute cette sorte d'acharnement que l'on ressent dans les alternances noir/blanc. " – Philippe Bérard (Le journal des Galeries, Paris 1976) "A propos des œuvres du peintre Calméjane" – Sofi Evreïnoff La promenade picturale Se fait chaude sous la touche Légère et grasse Sans lassitude, le regard progresse Par vagues de douceur Le pas se fait chair Un mouvement de fraicheur Ondule dans l'air Le regard poursuit son chemin C'est l'aube de matins La secousse rousse du soir Un creux où se love l'espoir De sillonner le temps Suspendu à l'espace multicolore | Un chant venu d'une danse Agitant les blés touchés par l'or D'un soleil mugissant Diffusant son parfun d'arrogance C'est le secours du peintre ! Celui qui nous donne la main Et d'un pas lent, avance Ouvrant nos cœurs sereins Les pays "sages" secouent nos reins Nos pieds glissent de joi Sur les collines veloutées S'enfoncent dans la lumière De la pâte déposée par la main Tel un don offert | Ecrivant son rythme et sa prière La terre s'allume en reliefs subtils On a oublié l'effort On avance devant et loin... Votre peinture voyage avec style Elégance et délicatesse encore L'espace dévore le temps gourmand Il s'agit d'un enchantement Célébrant l'Art de la terre-mère Et tous ses charmants visages Nommés "paysage". Merci Sofi Evreïnoff, été 2018 | presse.html Haut de page |