Guérin

Kiron, Paris, exposition 2003, 2005, 2008 et 2010

Jean-Luc Guérin est découvert par les plus grands collectionneurs et instances culturelles, dès les années 1980. Guérin devient alors une figure phare du post-minimalisme français.
Fin des années 90, l’artiste amorce un changement radical dans sa peinture et aborde de plein fouet la figuration dans ces sujets en tension soulignés par un dessin sûr.
Jean-Luc a tenu de nombreuses expositions tant en France qu'en Allemagne.
Sa peinture violente et tendre, rigoureuse et libre, a pris aujourd’hui la voie de la synthèse, entre le minimalisme abstrait des débuts et cette figuration posée.
Son oeuvre, qualifié d’hors et déjà d’historique par d’aucun est soutenue par un grand nombre de collectionneurs de premier plan.

Kiron

Peter Deckers-Varozza : "La peinture, voilà bien le lieu de torture. Doutes et confrontations : toiles lacérées, coulures, biffures... un espace na^t. Phisique et spirituel. La jonction est faite : l'Œuvre est là."

Villa Tamaris centre d'art, La Seyne-sur-Mer en 2010

Robert Bonaccorsi : "La toile devient un lieu de débats, d'incertitudes où la quête de spiritualité s'incarne dans le geste, dans ce rapport indicible entre le calcul et la spontanéité."

Christian Ruby : " Une œuvre prend sens de faire part à l'autre de ses qualités. Tandis que l'autre doit s'y ouvrir ; le spectateur, qui n'en a pas idée avant de se confronter à l'œuvre, développe ses premières idées dans les approbations/applaudissements qui font écho à l'œuvre."